" Dieu a inventé la calvitie pour rendre les Hommes plus humbles. "

dimanche 30 novembre 2014

Quatrième bilan détaillé après 4 mois



[Cliquer sur les photos pour mieux les voir]





 Les repousses grandissent tranquillement.



 Clairement, ce sont ces photos qui représentent la plus grande réussite. Par rapport à mois 1, il n'y a pas photo ! Le crâne est très largement moins visible. Les bébés cheveux ont dû pousser ! La matière me paraît aussi meilleure qu'au début du traitement (cheveux plus épais ?)
Ceci dit, c'est aussi sur ces photos que se trouve ma plus grande défaite : une zone ronde directement sur la ligne de front. J'ai toujours dit que celle-ci n'existait pas avant Minox. Ceci dit, vu que j'étais clairsemée sur tout le crâne de la même façon que je le suis aujourd'hui sur cette zone, je me demande si ce ne sont pas les repousses sur le crâne qui forment maintenant un contraste avec cette zone où les cheveux ont eu plus de mal à repousser. Aujourd'hui, c'est le seul endroit qui me pose encore problème et que je dois toujours légèrement camoufler par un simple pshitt Volluma pour sortir dehors.



Je trouve que la raie a évolué positivement. Mais toujours pas comme à jour 1...


J'ai récupéré pas mal mes cheveux du vertex. Je n'utilise plus aucune pince à ce niveau. Peut-être cela a-t-il aussi été bénéfique (alopécie de traction?)



 J'effectue toujours mon coiffage aux doigts lorsqu'ils sont mouillés. C'est un moment écoeurant (c'est le mot qui correspond le plus), les cheveux morts collent aux mains, la sensation est peu soutenable, on se dit que les cheveux ne cesseront pas de tomber. Mais au final, le résultat est là. Pas le top, mais déjà mieux qu'à la brosse (mois 1 et 2).



Pour retrouver mes bilans : 

En espérant que cela aide.

dimanche 23 novembre 2014

Repartir de zéro...

Depuis quelques jours, j'ai une envie très pressante. 
Si j'avais le courage, je n'hésiterai pas. 
Mais voilà, de courage, je n'en ai aucun.


Je suis dans une période pas très jojo en ce moment. 

Dès septembre, une élève qui s'étonnait de me voir m'éclipser tous les jours à 17h (pour appliquer Minox) m'a demandé ce que j'avais. La boule dans la gorge, je lui réponds simplement que j'ai un médicament à prendre à cette heure-là. Elle insiste pour savoir ce que j'ai. Je lui dis que je ne peux pas lui dire (plutôt que je ne veux pas sous peine que tout le collège le sache).
Mercredi dernier, en sortie théâtre à l'italienne, celle-ci se tient derrière moi et a prend en main ma queue de cheval pour montrer à un autre que j'ai des extensions. Ignorance de ma part... Mais voilà qu'elle continue. En prenant une inspiration, je me retourne et lui demande d'arrêter car j'allais devenir méchante. Ce fut efficace, elle n'a pas recommencé. Mais moi, j'étais mal de m'être comportée ainsi. 
Le lendemain matin, je la prends à part pour m'excuser de m'être un peu emportée. Elle avoue qu'elle ne s'en souvient plus. M'enfin, c'est pas bien ce que j'ai fait, donc je lui dis que j'ai une maladie et que je suis obligée de porter ses extensions mais que je ne veux absolument pas que cela se répande partout. Je lui fais entièrement confiance, elle me l'a déjà prouvé plusieurs fois. Elle a vu que j'avais un problème aux cheveux car elle a su différencier les extensions de mes vrais cheveux au contraste de texture. Comme quoi, moi qui étais contente avec mes masques hydratants qui faisaient des cheveux tout doux, ça se voit quand même malgré tous les soins apportés... Ce qui m'a fait mal (et je le ressens aujourd'hui car ses paroles me reviennent), c'est que depuis septembre, elle pensait que j'avais un cancer. Dans l'imaginaire des enfants, le cancer, c'est la chimio. Je lui précise que non, c'est une autre maladie (je ne lui explique pas plus que cela sous peine d'avoir les larmes aux yeux). 
Les enfants peuvent être si blessants de naïveté... Je ne lui en veux aucunement. Je dirai même qu'elle m'a ouvert les yeux : ce que je pensais pas mal au niveau de mes cheveux ne l'est pas du tout. Et c'est flagrant.
Ce fut un dur moment mais pédagogiquement, il fallait que je me surpasse pour expliquer le pourquoi de mes paroles qui avaient dépassé ce que j'aurai dû dire.


Puis aujourd'hui, le shampooing. La perte est énorme. Quand je les essore, il n'y a plus rien entre mes mains, l'équivalent de la circonférence de mon petit doigt. Mes poings se serrent mais n'essorent pas mes cheveux, aussi fort que je comprime mes doigts contre mes paumes. Je les peigne aux doigts pour ne pas qu'ils cassent à cause d'une brosse. Mais finalement, ce n'est pas mieux. Je confesse que depuis 2 mois, je ne pleurais plus à cause de mes cheveux. Cette période a pris fin ce soir. 


J'ai des repousses, j'en suis contente, et d'écrire cet article, je trouve cela égoiste envers celles pour qui les traitements ne fonctionnent pas. Je m'excuse bien sincèrement si ces personnes me lisent. 
Donc voilà, depuis quelques jours, je crève d'envie de couper courts mes cheveux. Qu'il ne me reste plus que quelques centimètres, en fait la longueur de mes repousses, pour que tout grandisse à nouveau uniformément. Mais je ne me supporterais pas si par manque de masse on voit encore plus mon crâne.


En espérant que cela aide.

jeudi 20 novembre 2014

Encore des nouvelles

Encore des nouvelles... Mais jusque quand ?
Lorsque même les soeurs de combat deviennent incompréhensives et manquent d'empathie, à quoi bon ? 
Faut-il que je comprenne que ma démarche expliquée dans l'article précédent est idiote ? Alors je réponds que pour moi elle est importante, et que cela devrait suffire. Je me dois d'aller jusqu'au bout des examen qui sont nécessaires (voire obligatoires à mon sens) quand on parle AAG afin de pouvoir éliminer toutes les causes possibles une fois pour toutes. 

C'était mon premier commentaire au goût amer. C'est une raison pour laquelle j'ai pris un peu de temps avant de publier à nouveau ici. Je ne souhaite pas empêcher les commentaires car je veux pouvoir discuter, échanger. Mais si cela devait se reproduire trop souvent, je ne peux pas dire que je ne fuirais pas ce stress supplémentaire.

Ceci dit !

Je reviens tout d'abord sur les résultats de ma PDS de vendredi. Tous les dosages se sont avérés bons (même la vitamine D et le fer, incroyable pour une normande en anémie chronique il y a encore quelques années) mis à part le cortisol. D'une valeur de 60 à 200µg, j'étais arrivée à 371µg. Petit flip quand j'ai reçu les résultats. Recherches sur le net : ce taux peut augmenter sous l'effet des oestrogènes. Ah, je prends Diane. Ceci explique cela. Et pendant mon rendez-vous, on me dira que le cortisol seul ne veut rien dire. 
Bon, donc : tout va bien. 
A part mon hérédité. Malheureusement. Parce que contre ça, on ne peut rien. Ou plutôt, qu'accepter. Et "perruques, implants", comme je l'ai si souvent entendu.

Le cortisol me faisant peur, j'ai décidé de prendre rendez-vous avec une nouvelle généraliste. Celle-ci reprend mon dossier et d'emblée s'intéresse à mon problème. Elle me dit qu'une de ses patientes est aussi atteinte. Mais ce qui m'a touchée, c'est le fait qu'elle s'enquiert tout de suite après de la difficulté psychologique à vivre cette chute. Voilà, elle a compris. En 1 minute, je savais que ce serait elle que je choisirais. Elle me parle aussi d'un homme qui, jeune, a fait des implants. Le jour où j'en aurai besoin, elle irait rechercher le centre où il était allé (Rennes il lui semble). Elle me parle aussi de Saint Louis à Paris, et là je lui déclare mentalement ma flamme. Elle ne se contente pas de ressortir Minoxidil à tout va, non, elle dresse un état des lieux des possibilités qui s'offrent à moi, même si cela veut dire aller voir d'autres médecins ailleurs qui pourraient m'apporter plus. Elle me convainc donc de sa sincérité à vouloir aider, non à vouloir uniquement se faire de l'argent sur le dos de ses patients.

Puisque les alopécies ne sont pas étudiées durant les années médecines, je me suis tournée vers l'expérience. Ce qui a été profitable. Etre prise en charge, c'est-à-dire écouter plutôt que devoir ramener sa science, c'est tellement agréable.
Ma recherche s'est avérée fructueuse ! Je lance enfin un cri de joie ! Oui, je l'ai trouvée, ma médecin traitante à l'écoute et même prête à se renseigner pour moi ! 
Je suis si contente d'avoir si vite trouvé et dans ma petite ville.


En espérant que cela aide.

dimanche 9 novembre 2014

Deuxième avis de médecin : done !

Comme je l'évoquais très succinctement dans cet article
j'ai décidé de prendre un autre avis concernant mon AAG. 
C'est fait. 
Petit topo de retour d'expérience.


Cela fait très longtemps que je voulais changer de généraliste. 

Pourquoi aller voir ailleurs ?
- Mon médecin de famille est un homme qui ne comprenait clairement pas le problème lorsque je lui parlais de ma chute de cheveux ("Quel est le problème ? Tu as peur de devenir chauve ?? (rires)" .....). Je voulais donc voir une femme qui serait peut-être plus sensible à ce sujet. Done !
- Mon médecin de famille a pratiquement terminé sa carrière, bien loin donc de ses études. Je voulais donc voir quelqu'un de jeune en espérant que la thématique AAG ait été abordée lors de ses études. Done ! 
- Les médecins étant très peu informés sur le sujet, j'aurai peut-être plus de chances en multipliant les avis. Done !

(Entre parenthèses, plus généralement, il fallait aussi venir en consultation avec ses symptômes, son hypothèse de maladie et les médocs à prescrire sur lesquels il donnait son avis. Le monde à l'envers. Je me souviens même d'une époque où j'ai dû changer de pilule et où il avait ouvert un peu au hasard son Vidal...Allez, on va essayer ça et voir ce que ça produit !.. Je devais absolument changer de médecin !)

Mais, voilà ce qui s'est passé :
Je me rends vendredi soir au pôle santé de ma ville, pleine d'espoir. 5 minutes de retard, ça passe (même si je la voyais papoter avec la secrétaire...). Ça y est, on m'appelle. Au même moment, mon généraliste habituel fait irruption dans la salle d'attente : et merde, gros moment de solitude, je le sens qui me dévisage.. 
Une fois dans la salle de consultation, j'expose mon problème à la toute nouvelle diplômée d'école de médecine. "J'ai une alopécie androgénétique, ma mère et ma grand-mère sont touchées, j'applique Minoxidil 2 fois par jour." "Ah, pardon, je ne connais pas Moxinidol." Mouais, super. Tous mes espoirs retombent d'un coup. Si elle ne connaît pas Minoxidil, elle ne connaît rien à l'AAG. Et en effet, elle avouera un peu plus tard que ce thème n'est (toujours) pas étudié. 2e point : à l'eau.

Assise derrière son bureau à m'écouter, elle se lève d'un coup, se place à côté de moi et me demande de lui montrer les dégâts. J'avais comme l'impression d'être un animal de foire qu'on expose, ou dans ce cas, comme une souris blanche de labo qu'on observe. Une seconde d'humiliation. Avant de me reprendre et de lui lancer un non catégorique : "vous ne verrez absolument rien, il y a de la poudre camouflante et des extensions". "Oh, allez" (ce sont ces propres mots, encore de ceux qui resteront longtemps en tête) "Non, je ne sors jamais autrement, vous ne verrez rien." Elle se permet quand même d'écarter mes cheveux levés en queue de cheval. Bref, 1e point : à l'eau, aucune empathie.

Je ne me démonte pas, je ne suis pas venue pour rien quand même. Après examen traditionnels, voici ce que j'obtiens : une prise de sang qui vient compléter celle que généraliste habituel m'a donnée il y a quelques mois. Ce dernier n'avait pas voulu doser les hormones et avait oublier de noter la ferritine... 
Je pense être parée pour avoir des informations qui tiennent la route. 
Jamais on ne me les a proposés, j'ai toujours dû demander, et on est allé jusqu'à me refuser ces examen. Pour le coup, 3e point : okay !

Au final, elle me demande si ma mère et ma grand-mère sont devenues (moment d'hésitation de sa part) chauves. "Oui ma grand-mère l'est pratiquement mais moi je n'ai que 25 ans vous comprenez." Elle sent bien ma voix qui vascille. "Ah forcément si ça vous touche, ça ne fera pas de bien." Faible que je suis, pour ne pas exploser car elle n'y peut rien, je réponds que oui, le stress n'est pas bon, au lieu de lui envoyer un assassin "C'est bien ça que vous, médecins ou bien personnes non touchées, ne voyez pas : ce n'est pas qu'esthétique, on ne peut pas ne pas stresser en sachant ce que l'on va devenir puisqu'on le voit tous les jours dans sa propre famille."


Conclusion : 
J'ai encore dû sortir ma science devant un médecin, j'aime pas trop, ça fait prétentieux à la "j'en sais plus que toi médecin qui a fait des années d'étude". Pas top. Mais je voulais savoir ce qu'elle pensait. 
J'ai parlé d'Androcur. Elle n'a pas tiqué.
J'ai parlé du spironolactone. Là, elle m'a dit que cela l'étonnait que ce soit prescrit pour les cheveux. Et qu'elle ne prendrai jamais le risque de le donner car c'est à la base pour le coeur et qu'il y a pas mal d'effets secondaires.
Grâce à un post de Charlotte, si je me souviens bien, sur un des groupes sur l'alopécie, j'ai aussi parlé vitamine D, qui peut-être une cause de la chute. Dans ma Normandie, le soleil nous rend peu visite, et on est quasiment tous en carence. Mais cela permettra de voir à quel niveau je le suis.
J'ai également parlé de ma peur face à Diane35. Elle m'a donc donné des dosages spécifiques pour voir s'il y avait des risques.


Cet avis m'a un peu démontée mais je suis tout de même contente d'avoir enfin le strict minimum de prescrit, c'est-à-dire les examen nécessaires que tout médecin, qu'il soit généraliste, dermato ou endocrino, devrait donner lorsqu'il suspecte une AAG. 


En espérant que cela aide.



Edit : Je ne baisse toujours pas les bras. Si mon essai avec cette jeune femme médecin n'a pas été probant, je tenterai lors d'une prochaine consultation d'en parler avec une autre doctoresse ayant plus d'ancienneté de métier. Certainement lorsque j'aurai reçu les résultats de la PDS.
En multipliant les avis, je ne recherche pas une solution miracle, j'ai bien compris que des traitements, il n'y en a aucun, il n'y a que des produits qui peuvent retarder le dégarnissement. Je recherche avant tout quelqu'un qui ne juge pas, qui écoute tout en comprenant ou en essayant de comprendre. Ce serait déjà énorme. Et si par dessus cela elle pouvait m'apporter des retours de femmes vivant la même chose, ce serait au-delà de mes espérances. Mais j'habite dans un petit village, cela m'étonnerait beaucoup qu'il y ait des cas similaires ici. Surtout lorsqu'on sait qu'à la pharmacie, on me refile du Minoxidil passé de date et qu'on me donne comme excuse que c'est un produit qui ne sort pas souvent...


mardi 4 novembre 2014

Troisième bilan détaillé après 3 mois (astuces à l'intérieur)

Il est venu le temps du bilan ! J'ai passé le fameux cap des 3 mois de traitement sans craquer ! Wouhou, joie ! C'est allé si vite finalement.
C'est reparti pour les montages présentant l'évolution de ma chevelure. 

[Cliquer sur les photos pour mieux voir]




Pas de doute possible : les repousses à ce niveau sont là, de plus en plus grandes. Lorsque j'attache mes cheveux, les golfes qui commençaient à se creuser ne se voient déjà plus du tout. Mon repère tempe gauche, c'est mon grain de beauté qui aujourd'hui est recouvert. Côté droit, les minis repousses ont beaucoup poussées en un mois. 
C'est la grande réussite du traitement.
A droite, j'ai pu remarquer un épais duvet blanc tout doux. La notice de Minox dit que ce duvet "pourra" s'épaissir au fil du temps. Je suis déjà satisfaite avec mes repousses bien visibles. Si ce duvet venait à s'épaissir, j'aurai vraiment une grosse touffe localisée sur la droite !
Le problème, c'est que j'ai dû perdre aussi des cheveux entre la tempe et les oreilles et du coup, quand je relève mes cheveux, ça donne ça :




Ici aussi, on voit des repousses, malheureusement beaucoup moins nombreuses que sur les tempes. Quand j'attache mes cheveux, on ne voit plus mon crâne comme à mois1. J'en déduit que même si je ne les vois pas, il y a également des repousses sur le dessus de la tête. Encore une réussite !
Le seul problème persistant, et qui est arrivé à cause de Minox, c'est une zone ronde juste sur la ligne de front qui est encore clairsemée. Je veux dire par là que je pourrai compter les cheveux de cette zone. 
Alors voilà, le travail repris, je n'ai pas pu m'empêcher de camoufler ça : spray Volluma, et pour dompter ces petites repousses sauvages dressées sur mon front, j'ai acheté un mascara marron ce qui permet de les tenir en arrière et de leur donner une couleur plus vive car elles sont fines.


Je viens de dire qu'il devait y avoir des repousses sur ma tête. Mais alors, quand je fais une raie, je me demande bien où elles passent. Quand reviendrai-je à la raie d'avant-Minox ? 


A ce niveau, j'ai comme l'impression que les cheveux ont aussi repoussés, recouvrant les zones clairsemées. Je me retrouve comme à jour1.


Incroyable, non ? Ma perte après les shampooings a bien réduit. Mais c'est "normal". J'ai pris l'habitude de ne plus brosser mes cheveux lorsqu'ils sont encore tout mouillés. 
Je pose un masque hydratant yaourt-sirop d'agave avant le shampooing, je fais un shampooing uniquement des racines et pas sur les longueurs puis un bon AS démêlant (celui-ci), et une fois rincés et essorés, je n'ai plus qu'à passer mes doigts dans mes cheveux pour démêler et redonner une forme. Cela à l'avantage de ne pas tirer et casser les cheveux qui mouillés sont élastiques. Et voici le résultat ! 
Bien sûr, jamais je n'aurai pu faire cela quand je perdais encore beaucoup de cheveux, trop difficile de s'enlever de si grosses touffes sans l'"aide" de l'intermédiaire d'une brosse ("c'est la brosse qui enlevait tous ses cheveux, pas moi"). Encore aujourd'hui c'est difficile, mais quand je vois ce que ça donne, je suis contente.



Pour retrouver mes bilans : 


En espérant que cela aide.


samedi 1 novembre 2014

Traitement : le point n°2

Besoin de faire un nouveau point sur les aides que je prends pour ralentir le pire.

Diane35 : 3 mois aujourd'hui

Alopexy 2% : 2 mois et 29 jours

Kmax Anti-DHT : 2 mois et demi

Oenobiol Capillaire : 1 mois aujourd'hui

Spiruline : je la prenais depuis cet été mais ai dû arrêter il y a environ 1 semaine et demi car j'avais de terribles maux dans les flancs. Depuis, ça va mieux. Il est vrai que c'est une algue super protéinée. Je reprendrais une cure plus tard dans l'année. 4 gélules en moins par jour, ça me permet de vider mes anciens stocks d'avant-diagnostique-d'AAG et de la remplacer par...

Ortie et prêle, Vitarmonyl : pour une durée d'un mois. 1 gélule par jour. Ces deux plantes contiennent de la silice, bonne pour les cheveux. De plus, l'urtica dioica est un bloqueur de DHT

et Juvamine Capital cheveux : pour une durée d'un mois. 1 gélule par jour.


Bains d'huiles, shampooings aux poudres ayurvédiques (article à venir), lotion gingko-thé (article à venir).

Voilà ce à quoi je m'astreins en ce moment afin d'éviter de perdre mes 3 cheveux.

En espérant que cela aide.