" Dieu a inventé la calvitie pour rendre les Hommes plus humbles. "

lundi 20 juillet 2015

The end, my friends ?

Vous vous souvenez que déjà en novembre je subissais quelques désagréments sur le net via mon blog (relire ici), eh bien cela recommence et de plus belle ces derniers temps. Alors, c'est décidé, je fuis. Je n'ai pas créé ce blog pour subir et aller encore plus mal à cause de ce dernier. 

Il n'y aura donc pas de publication du bilan des 1 an.

Alors oui concernant mes cheveux en ce moment je suis plus susceptible dû à une rechute qui rejoint celle du mois 3 environ _ c'est un terrifiant retour en arrière qui me fait à nouveau me délester de quelques larmes _ mais recevoir des mots pas très sympathiques sous couvert de l'anonymat d'internet, caché derrière son écran, c'est très petit et cependant, ces mots sont pensés, écrits et finalement blessants. 
J'ai d'ailleurs une pensée particulière pour toutes les femmes qui heureusement n'ont pas vu un de ces messages. Oui, parce que mon évolution capillaire est soi-disant négative, pire qu'au début. Eh bien oui, je pense à celles qui n'ont pas eu la chance (parce qu'avec Minox, on a vraiment l'impression que c'est une histoire de chance) d'avoir de résultats avec leurs traitements. Je pense que je suis une de celles qui justement ont eu de bons résultats. C'est donc vraiment insulter pas mal de femmes que de dire de telles immondités.
On attend toutes le traitement-miracle.

Je vous laisse donc sur une situation capillaire négative.

Dans 2 jours j'ai rendez-vous médical pour parler d'un sujet dont VOUS m'avez fait part, plusieurs d'entre vous, et oh mon dieu je vous en remercie ! L'acétate de cyprotérone contenue dans la Diane35 épuiserait notre stock de vitamine B12, ce qui pourrait expliquer ma grande fatigue, ma pâleur de visage, mon manque de concentration, les rechutes et la texture toute étrange de ma "chevelure". 
Alors UN ÉNORME MERCI à toutes celles qui ont suivi mon évolution, qui m'ont soutenue, qui m'ont tant aidée en cherchant des solutions, à celles qui sont venues papoter par mail. Tout cela m'a aidé, si si. 

Pour finir sur une note très joyeuse, vous avez remarqué qu'en juin puis également en juillet, j'ai été largement absente du blog. 
En voilà la raison : je passais en juin les oraux d'un concours, celui de professeur des écoles. Et ... je suis à présent PROFESSEURE DES ÉCOLES !! C'est fait, à la rentrée j'aurai ma classe de Moyenne Section. Alors maintenant, je suis bien occupée à mes préparations de classe. C'est une grande page de ma vie qui se tourne. De ce côté, je me sens très bien. Ma ville d'affectation est quasi idyllique, j'habiterai à quelques pas de l'école, et je n'aurai qu'à traverser la rue pour m'évader dans un grand parc oh combien magnifique entourant un château et son lac. L'école est neuve, les collègues sympathiques et très préoccupés de ma bonne entrée dans le métier. 

Voilà donc 1 an moins 1 semaine pile que ce blog est né. Son arrêt n'est pas prémédité. Il m'a aidé, j'espère aussi qu'il vous aura aidé. Je passe à une autre vie et ce seront des messages négatifs en moins. Je suis partie pour profiter de la vie.

Merci à toutes les amies !

dimanche 28 juin 2015

Quelques nouvelles...peu réjouissantes

Dans mes derniers commentaires début mai, avant ma pause, je faisais état d'une peur : celle d'une rechute qui durait alors depuis quelques semaines. Certaines m'ont rassurée en me faisant relativiser : c'était la chute saisonnière bien connue. Ce qui m'a permis de ne pas trop y penser.
Mais force est de constater qu'au bout de 2 bons mois, la chute est toujours présente et empire à vue d'oeil. J'avais raison de m'inquiéter. 
Alors oui, les photos ne montrent pas grand chose. Ceci dit, on voit bien la différence entre avril et maintenant. La situation n'allant pas en s'améliorant, je ne vais pas vers le meilleur. Et cette fois, je n'attendrais pas des années avant de réagir ! (Mais que faire ? Je prends déjà Minox et Diane sans oubli...)
J'ai repris le camouflage léger à la poudre Ecobell sur la ligne frontale.





En espérant que cela aide.


samedi 27 juin 2015

Projet collaboratif : Amandine


Pour participer au projet collaboratif : 


Je ne sais plus comment s’est arrivé. Impossible de dire si la chute a été diffuse et si ça a duré pendant des années avant que je m’en aperçoive. Je n’étais pas vigilante sur une éventuelle perte de cheveux, tout simplement parce que pour moi, une femme, ça ne pouvait pas perdre ses cheveux.  Elle aurait l’air de quoi, Raiponce, sans ses cheveux ? Pouf, plus de suspens et de fin heureuse, enfermée ad vitam aeternam dans sa tour, l’alopécique ! Et puis, un jour, j’ai remarqué qu’ils tombaient vraiment beaucoup. On était à l’automne, je me suis dit que c’était normal. En février, je la trouvais longuette cette chute automnale qui mordait méchamment sur l’hiver…  J’avais 28 ans.
Rapidement, j’ai passé un test sanguin et hormonal. Rien, normalité absolue. Et puis un diagnostic est  tombé du ciel, comme ça : c’est une AAG.  « C’est-à-dire ? Comment ça, mes cheveux vont tomber ? Je sais qu’ils tombent puisque je suis là, mais sinon la chute, elle s’arrête quand ? Non, mais je veux dire, elle s’arrête quand pour de bon ? Bon, je crois que vous n’avez pas bien saisi ma question, ok, j’ai un problème de chute de cheveux mais quand est-ce que ça s’arrête ce cirque et qu’on n’en parle plus jamais ? Pourquoi vous riez, Docteur ? »…

Au début, je n’ai pas compris que l’AAG et moi, on allait être les Worst Friends Forever.  Je pensais que je pourrais la dégager rapidement ma copine-boulet. Je n’avais pas compris que la Garce, une fois qu’elle t’a mis le grappin dessus, elle ne te lâche plus jamais. Je suis vite passée sous Minox , en pensant que ce serait temporaire, parce que ce truc poisseux qui te fait les cheveux gras, ce n’est pas possible. Je me souviens avoir envoyé ma mère chercher mon ordonnance de Minox, car j’avais un peu honte. Je me souviens aussi avoir été super énervée quand elle est revenue avec un pack de 3. Comment pouvait-elle raisonnablement penser que j’allais appliquer ce truc toute ma vie ?! Les mères, elles sont archi nulles parfois, elles ne pigent rien…

Après, je suis entrée en phase 2 : lendemain qui déchante. Après m’être « illusionnée » et avoir refusé de comprendre, l’info a soudain décanté et là j’ai commencé à avoir des angoisses. Je me cauchemardais chauve et repoussante. J’avais des crises de larmes, je demandais 20 fois par jour à mon copain, s’il continuerait à m’aimer quand j’aurais la tête d’un moine tonsuré du XIIIème siècle.

Puis, une phase 3 avec des doutes, des interrogations et des révoltes. Comment peut-on être sûr que c’est une AAG quand tous les tests sont normaux ? Comment peut-on dire que c’est génétique ? Ce ne sont pas les 2 gros chocs psycho que je me suis pris de plein fouet à 29/30 ans qui ont déclenché ce machin ? Pourquoi moi ? On est nombreuse comme ça ? C’est pas juste ».  Je ne suis déjà pas miss monde (ni miss France, ni miss Nord Pas de Calais, ni miss Dunkerque, ni miss Maroille) et en plus on me colle ce machin ? D’ailleurs qui me colle ce machin ? Auprès de qui, faut-il que je me plaigne ? Non, mais là faut être sérieux les gars, la coupe est pleine, distribuez votre générosité ailleurs, moi j’ai déjà donné. Houhou ? Il y a quelqu’un ??? Ben non, il n’y a personne et tes cheveux tombent toujours.
Après 1 an, avec Minox, mon Best Friend Forever, je me faisais un nouvelle super meilleure copine, la Cyprotérone (Androcur).  Vraiment, très chouette et pleine de petites attentions envers moi. Déjà, plus un bouton, ni même un point noir. Le poil devient si rare et si clair que s’épiler pourrait paraître superflu. Effet magique pour les cheveux : ça ne rend pas la densité mais ça ralentit la chute (mais on continue Minox quand même). Quelques petites frayeurs quand même avec ma Cypro, car suite à un mauvais dosage, j’ai eu des règles hémorragiques et surtout, l’effet secondaire pas terrible quand on vit à 2 : une libido moribonde. Plus rien de rien. Pour donner une idée, même toute nue dans un lit avec Ragnar Lothbrok, tu préfères lire un chapitre du Capital au XXIème siècle avant de lui taper une bise sur la joue en lui souhaitant une douce nuit ( et pourtant, ce n’est pas l’effet qu’il me fait ce Ragnar en temps normal). 5 ans après, j’en ai eu marre de toute cette chimie et j’ai décidé d’arrêter. Et là…ça a été un peu le Rocky Horror Picture Show qui te saute dessus. Des pustules XXL dont même des adolescents en plein bouleversements hormonaux n’oseraient pas rêver, et cherry on the cake, une perte de cheveux atroce/monstrueuse/effroyable/abominable…avec certains jours de grâce, un perte de plus de 400 cheveux par jour .

Et maintenant, j’en suis où… ? La cause, je m’en contrefous. Je ne veux pas devenir médecin à la place du médecin. Ce que je veux,  c’est une solution et si possible rapide, car mes cheveux, eux, restent remarquablement constants dans leur chute. L’AAG, c’est une saleté cyclique. Il y a des phases de répit et des phases télogènes. Ca je ne maîtrise pas, et j’ai horreur de ne rien maîtriser. Je sais que lorsque j’ai un gros stress, 3 mois après, je vais le payer. Et puis des fois, je me sens vraiment bien, et pourtant ça tombe quand même.

Cette AAG, c’est ma honte. Je la cache comme un syphilitique l’aurait fait au XIXème. Et même tous les raisonnements à froid du monde n’y font rien : certes, ce n’est pas de ma faute, et ce n’est pas mortel (et je rajoute la culpabilité de se lamenter sur une tare disgracieuse, alors que d’autres luttent contre de vraies maladies). Je n’assume pas, je fuis mon image dans la glace, et sur les photos. J’ai peur de la pluie, je crains le vent, je redoute le soleil, les spots me terrifient. Parfois, je me dis que ça pourrait être super chouette d’être un vampire et ne vivre que dans la pénombre.  Ces cheveux, c’est une souffrance psychologique au long cours  Si je pouvais, je lui ferai un procès pour harcèlement moral à cette alopécie.   

Mon AAG, c’est un secret. Personne ne le sait ou presque (ma maman, ça compte ? et mon copain ?). Souvent, je remarque que l’on me regarde dans le cuir chevelu. Les gens ne sont pas discrets. Moi, je pourrais être formatrice en détection visuelle d’AAG (on est d’accord, ça n’a aucune utilité). Je suis championne du monde pour repérer une AAG à 100 mètres, rien qu’à la texture du cheveu. D’ailleurs, je suis surentrainée, car un de mes tics, c’est de regarder les cheveux des femmes. Je déteste cette obsession mais c’est devenu un réflexe quasi Pavlovien. Quand je n’avais pas ce problème, je me concentrais sur autre chose. L’AAG est devenue assez centrale dans ma vie. Et même si je n’ai pas envie d’y penser, j’y suis parfois obligée. En phase de chute, c’est insupportable, car même si je ne veux pas y penser, ma tête se rappelle à mon bon souvenir. Mon cuir chevelu me gratte et picote. Je pourrais me le gratter jusqu’au sang (ce qui ajoute à mon charme, car je souffre en plus d’une AAG, d’un red scalp syndrom).

Mon AAG, c’est ma souffrance. Je suis une nana dynamique, ouverte, participative, enjouée. Mais cette putain de tare, elle me lamine parfois. Ces cheveux qui sont partout sur moi ou autour de moi mais plus vraiment sur ma tête, j’arrive à les haïr. Je voudrais me raser la tête pour ne plus en parler.  Tout en sachant que cela n’ôterait en rien la souffrance que je peux ressentir. Parce que mon modèle reste assez traditionnel. Une belle femme, c’est un ensemble de facteurs et un de ceux-là correspond aux cheveux qu’elle peut avoir. Alors si une belle femme est une femme à cheveux, qui suis-je dans tout ça ?!

Amandine


N'hésitez pas à réagir ! 


vendredi 5 juin 2015

Time gap

Très rapidement, je reviens pour annoncer une pause du blog qui court depuis le dernier article et qui ira jusque fin juin. Très occupée en ce moment et dans une période de grand stress (ouh, mon crâne va le payer dans quelques mois...), je n'oublie pas vos commentaires, ni vos écrits qui seront publiés à mon retour. 

D'écrits, j'en ai justement reçu un ce matin dans ma boîte mail. Je l'ai lu au réveil et je me suis sentie comme la chanteuse des Fugees dans Killing me softly: "Writing my pain with her fingers, Telling my life with her words" ! Bref, je m'y suis reconnue. Et je suis certaine que vous aussi.

A fin juin pour découvrir les mots d'Amandine ! 

vendredi 15 mai 2015

La double texture de cheveux en photos

Après 9 mois et demi de traitement, l'état de mon cuir chevelu a évolué positivement puisqu'on le voit moins. Les repousses ont formé un tapis qui l'a recouvert. 
Parfait, je n'en espérais pas tant en août dernier !

Depuis quelques semaines, c'est une autre question qui me tracasse. En réalité, en regardant à nouveau les centaines de photos que j'ai prises de ma chevelure depuis août, ce souci était déjà présent avant mais sans que ce soit mon obsession première. En effet, ce désagrément était généralisé et du coup je pensais avoir des cheveux "normaux". Loin de là. Ils étaient mousseux, volatiles, comme ébouriffés, incoiffables. Une accumulation de qualificatifs car je ne saurai trouvé un seul bon adjectif pour les décrire.
Je pense que grâce à tous mes soins : masque hydratants, bains d'huiles, sprays hydratants quotidien divers, no-poo aux poudres ayurvédiques, bonnet en satin la nuit, j'ai réussi à sauver mes cheveux à l'arrière. Ces derniers sont aujourd'hui beaux, doux, brillants et ont une couleur uniforme châtain foncé. 
Malheureusement, tous mes cheveux en avant des oreilles sont totalement différents : Ils sont encore pires qu'avant, encore plus volatiles, encore plus décolorés (châtains clair avec des forts reflets roux/dorés), raides. Et pourtant, de visu, pas plus fins. 

Passons aux photos :

Voici mes cheveux de l'arrière reportés vers l'avant. Je tiens les autre en l'air. Ne sont-ils pas beaux ? On voit les reflets, qu'ils sont souples, lisses, sans frisottis et qu'ils ont une forme.

Et voilà toute ma chevelure. On remarque la différence de matière. Les cheveux de devant ne tiennent pas les boucles comme les autres, ils sont raides, sans forme, foufous ! Aucune brillance.





Voilà à quoi ressemble la texture de mes cheveux de devant. En regardant cette femme, je me dis que c'est peut-être dû à la finesse extrême de la chevelure. M'enfin à vu d'oeil, il n'y a pas de différence de diamètre entre mes 2 textures. Alors : 

La cause ? Je n'en sais absolument rien. Je suis perdue.
Est-ce lié à l'AAG ? D'autres femmes relatent aussi un changement de matière. 
A la transition entre chimique et no-poo ? C'est possible car mes cheveux sont libérés des silicones qui on étouffés les cheveux. Mais alors, pourquoi pas ceux de derrière aussi ? 
A la laque ultra-tenue contenant de l'alcool ? Ca a pu me bousiller le cheveu à force.

Soit, mes cheveux refusent tout soin, ils n'absorbent rien. Comme s'ils n'avaient plus de cuticules pour retenir quoi que ce soit. Auquel cas la seule solution sera de couper.

Dans un dernier espoir, j'essaie un nouveau masque, conseillé par un parapharmacienne spécialisée en cheveux, puisqu'apparemment, il me faudrait un apport en kératine : le masque sublimateur régénérant au ricin et à la kératine végétale de la gamme Natessance chez Léa Nature. Il existe aussi le shampoing et l'après-shampoing. 

Maintenant que l'arrière de mon crâne est niquel, l'astuce, c'est de poser les soins uniquement sur l'avant de ma tête, sinon le reste est poisseux --' C'est d'un pratique quand tu dois aplliquer un soin alors que ta queue de rat est mouillée ! Va différencier les "bons" cheveux des "mauvais"...

D'autre part, au toucher, certains de ces cheveux laids (mais pas tous, ce serait trop simple à comprendre) ont comme des bosses. Je peux les sentir sous deux doigts quand je les fais glisser sur un cheveu. Et à la lumière, en s'appliquant, on voit ces bosses avec une différence de couleur, plus foncé dans les bosses. 


En espérant que cela aide.



PÉ-TAAA-GE DE PLOMBS !!!

samedi 2 mai 2015

Coupe + état de ma texture n°2

Depuis le dernier état de ma coupe, le ciseau a encore sévi ! Et peut-être sévira-t-il encore. Moi qui les voulais le plus long possible il y a encore 2 mois, je les trouve aujourd'hui encore trop longs. La position prise pour la photo (pas facile de se prendre de dos encore une fois) ne permet pas d'apprécier la longueur réelle de la coupe : ils m'arrivent en fait au milieu des omoplates. 

Je me coiffe toujours en relevant mes cheveux de devant sur le crâne avec une mini-pince crabe et en les laissant libres. Cela a l'avantage de cacher le vertex grâce aux cheveux rejetés en arrière tout en les laissant respirer. Avant, je ne pouvais pas utiliser cette méthode car 1 : la pince ne tenait plus sur mon crâne dégarni et 2 : cela ne cachait en rien la peau luisante de mon crâne. 

Mon principal souci aujourd'hui, c'est toujours et encore ça :




mes cheveux _ tout ceux qui encadrent mon visage en avant des oreilles _ sont si fins qu'ils sont devenus volatiles, ils ne tiennent pas en place comme les autres, que j'hydrate ou que je nourrisse. J'ai bien peur qu'il n'y ait rien à faire... 

Dans cet article bien fourni sur l'alopécie androgénétique que Sandra a partagé sur le groupe facebook (merci !), j'ai appris que :
      - les cheveux se dépigmentent dans le cas d'une AAG; c'est bien le cas de ces cheveux qui sont plus clairs que ceux de derrière
      - le diamètre des cheveux est réduit; pareil, ces cheveux sont vraiment très fins comparés à ceux de l'arrière
      - la peau du crâne visible est fine et luisante; c'est exactement cette peau que l'on voyait sur ma tête lors des premiers mois de traitement
      - "les cheveux crépus deviennent plus crépus ; les cheveux raides se transforment en « whiskers hair » (cheveux ressemblants aux poils de rouflaquettes)"; (je ne sais pas réellement à quoi ressemblent des poils de rouflaquettes) mais il y a bien eu changement de texture, c'est certain. "Les modifications anatomiques du follicule pileux et la diminution progressive du calibre des anagènes expliqueraient ces changements."
      - et bien d'autres signes visibles comme une soudaine hyperséborrhée.



En espérant que cela aide.